Plusieurs huiles essentielles sur le marché
contiennent des solvants chimiques synthétiques pour amplifier les odeurs et
permettre de réduire leur coût. Les huiles
synthétiques et les huiles de mauvaise qualité ne contiennent pas les composés
fragiles et complexes qui sont présents dans les huiles essentielles pures de
grade thérapeutique. Ces huiles
synthétiques ou falsifiées peuvent causer des éruptions cutanées, des brûlures,
des réactions allergiques, de la nausée et de l'indigestion.
Selon l’association des producteurs de
lavande, 100 fois plus ‘‘d’huile de lavande’’ a été exportée de France que la
quantité réellement cultivée en France.
D’où vient donc l’huile excédentaire?
De nos
jours, la grande partie de la lavande vendue en Amérique est un hybride appelé
lavandin, cultivé et distillé en Chine, en Russie et en Tasmanie. Le lavandin est acheminé en France, coupé
avec de l’acétate de linalyle synthétique pour en améliorer la fragrance,
ajouté à du propylèneglycol, SD 40, DEP, ou DOP (solvants qui augmentent le
volume), et vendu ensuite aux États-Unis comme étant de l’huile de lavande.
Il arrive
fréquemment que le lavandin soit chauffé pour évaporer le camphre, et
qu’ensuite de l’acétate de linalyle synthétique soit ajouté pour faire passer
le lavandin comme de la lavande. Les
consommateurs ne connaissent pas la différence et sont contents de pouvoir
acheter une demie once de lavandin à un prix variant entre $5 US et $7 US dans
les magasins de produits naturels, les salons de beauté, les épiceries, les
magasins à rayons et par commande postale.
L’encens
est un autre exemple d’une huile souvent falsifiée. La résine ou gomme d’encens, qui est vendue
en Somalie coûte entre $30,000 US et $35,000 US la tonne. Sa distillation à la vapeur d’eau est très
dispendieuse parce qu’elle requiert 12 heures de distillation. L’encens vendu pour aussi peu que $25 US de
l’once est distillé avec de l’alcool.
Nous nous demandons ensuite pourquoi nous n’obtenons pas les bienfaits
auxquels nous nous attendions et nous concluons que les huiles essentielles ne
valent pas grand chose.
Lorsque des
composés aromatiques synthétiques sont ajoutés, l’huile essentielle perd de plus
en plus son efficacité à chaque étape de la distillation.
Il est très
coûteux de produire des huiles essentielles pures. Cela requiert souvent plusieurs centaines ou
plusieurs milliers de livres de plantes pour produire une seule livre d’huile
essentielle. Par exemple, il faut 3
tonnes de plantes pour produire une seule livre d’huile essentielle de
mélisse. Ce rendement extrêmement faible
explique pourquoi l’huile essentielle de mélisse se vend entre $9,000 US et
$15,000 US le kilo. Pour cette raison,
l’huile de mélisse est souvent coupée.
Il faut 5,000 livres de pétales de rose pour produire une livre d’huile
essentielle de rose. Il n’est pas
difficile de comprendre pourquoi ces deux huiles essentielles sont aussi
dispendieuses lorsqu’elles sont pures.
Dans
plusieurs vastes exploitations commerciales dans le monde, les distillateurs
introduisent des produits chimiques de synthèse dans le processus de
distillation pour augmenter la production du volume d’huile. Des camions de produits chimiques pompent des
solvants directement dans l’eau qui se trouve dans la chaudière. Ceci augmente la production d’huile jusqu’à
18 pourcent. Ces produits chimiques
s’infiltrent dans l’eau de distillation et se mélangent à l’huile essentielle,
ce qui cause une fracture de la structure moléculaire de l’huile essentielle,
altérant sa fragrance et sa valeur thérapeutique.
Plusieurs
opportunistes ont flairé le potentiel de profit des huiles essentielles et ont
fait leur entrée dans ce créneau. Ils
achètent des huiles bon marché, les mettent dans de nouvelles bouteilles, les
étiquettent comme étant des huiles essentielles pures à 100% et les vendent
sans connaître l’origine des huiles ni le responsable qui a effectué leur
distillation.
Avant sa mise en marché, chaque lot d'huile
est mis en quarantaine, inspecté et testé pour sa pureté et sa qualité. Des échantillons sont expédiés à des
laboratoires indépendants pour y être vérifiés par des techniques d’analyse de
pointe. Certaines huiles sont soumises à
des tests supplémentaires en Angleterre et en France. Ces huiles peuvent subir jusqu’à cinq différents
niveaux d'analyses de la qualité.
Young Living™
pratique une stricte agriculture biologique sur ses fermes en Utah et en Idaho,
ainsi que sur ses fermes de recherche en France et en Espagne. Pour reconstituer le sol et le nourrir, ils
utilisent une combinaison de minéraux, de paillis organique, de fumier et
d’enzymes. Même le fumier produit par
les animaux exotiques de leur zoo pour enfants est recyclé dans les champs
après avoir été composté avec la paille retirée des cuves de cuisson après la
distillation des plantes. Absolument
aucun produit chimique de synthèse (pesticides, herbicides, fongicides ou
autres produits agricoles chimiques de synthèse) n’est utilisé sur leurs terres
de culture. Un mélange naturel d’huiles
essentielles, incluant les huiles de pin et de cannelle, est utilisé pour
contrôler les mauvaises herbes.
Young Living™ cultive plus de 1,700 acres de terres agricoles en Idaho et
en Utah et prend grand soin de contrôler chaque phase de la culture biologique
des plantes :
Sur leurs fermes en Idaho et en Utah, des
douzaines de différentes espèces de plantes sont cultivées incluant la lavande,
la menthe poivrée, le basilic, la bergamote, la camomille, la sauge sclarée, le
fenouil, la marjolaine, la mélisse, l’origan, le pin, la menthe verte,
l’estragon, le thym, la tanaisie (tanacetum vulgare), l’achillée, et le ‘‘Chinese
Wolfberry’’ (lycium barbarum).
Distillation – Les plantes fraîchement récoltées sont
distillées à la vapeur d’eau en utilisant un lent et coûteux procédé, à basse
pression et à basse température, qui préserve la biochimie fragile et complexe
des huiles essentielles.
Young Living™ distille ses propres huiles essentielles à basse pression
et à de basses températures pour préserver les constituants thérapeutiques des
huiles.
Young Living™ prend des dispositions
extraordinaires pour préserver tous les fragiles constituants thérapeutiques
dans ses huiles essentielles. Les plantes
sont distillées à la vapeur en petites quantités à la fois, pendant des durées
prolongées et en utilisant un procédé perfectionné de
distillation verticale, à basse pression et à basse température, développe par
D. Gary Young.
Puisque de légères variations dans le procédé de distillation des huiles
essentielles peuvent causer une réduction considérable dans la qualité de
l’huile essentielle, Young Living™ fait le
maximum pour s’assurer que ses huiles essentielles sont de la plus haute
qualité.
Ni solvant, ni produit chimique synthétique
d’aucune sorte ne sont utilisés ou ajoutés. Les cuves de cuisson sont
construites d’acier inoxydable de grade alimentaire qui ne réagit pas avec
l’huile essentielle pour éviter que l’huile essentielle ne soit chimiquement
altérée par des métaux plus réactifs comme l’aluminium, l’acier ou le cuivre.
Il en résulte des huiles exceptionnelles de la plus haute qualité et ayant des
propriétés thérapeutiques inégalées.
Les huiles essentielles sont de riches
tapisseries composées de nombreux composants chimiques dont quelques-uns, même
en infime quantité, contribuent à apporter d’importants bienfaits
thérapeutiques. Le cyprès, par exemple, nécessite 24 heures de distillation à
245°F et à 5 livres de pression pour extraire tous ses ingrédients actifs. Si
la distillation est écourtée de seulement 2 heures, entre 18 et 20 de ses
constituants chimiques seront manquants. Pour réduire les coûts, certains
producteurs augmentent la pression et la température afin de réduire substantiellement
les durées de distillation. Dans la
plupart des exploitations à travers le monde, la durée de distillation du
cyprès est de moins de 3 heures. Même si
l’huile est considérée comme pure, il se peut qu’elle ne contienne qu’une
fraction de sa composition chimique potentielle ‑ et de sa valeur
thérapeutique.
Marcel Espieu, le président de l’association des producteurs de
lavande du sud-est de la France pendant 21 ans, a mentionné que l’huile de
lavande de la plus haute qualité serait obtenue en maintenant une pression de
zéro durant la distillation.
La
température aussi a un effet marquant. À
certaines températures, la fragrance de l’huile ainsi que les constituants
biochimiques peuvent être altérés. Les hautes pressions et les températures élevées
rendent l’huile âpre. Le pH de l’huile
de même que son équilibre électropositif et électronégatif sont
grandement affectés.
En France,
la lavande qui est produite commercialement est souvent distillée pendant une
durée de 15 à 20 minutes seulement avec une vapeur d’eau pouvant atteindre une
température de 350°F et une pression jusqu’à 155 livres. Même si cette huile est facilement mise en
marché, elle est de piètre qualité.
Cette huile bon marché n’a conservé que peu ou aucune des propriétés thérapeutiques
présentes dans la lavande de première qualité qui est distillée à basse
pression pendant une durée minimum d’une heure (1) et quinze (15) minutes.
Young Living™ effectue ses propres analyses
pour vérifier les analyses faites par des laboratoires indépendants.
Que les huiles proviennent des fermes de Young
Living™ ou d’un autre pays, chaque lot d’huiles essentielles reçu aux
laboratoires de Young Living™ est mis en quarantaine, inspectée et analysée
pour vérifier sa pureté et sa qualité.
Des échantillons sont expédiés à des laboratoires indépendants pour y
subir des analyses à la fine pointe de la technologie : chromatographie en
phases gazeuses à haute résolution, spectroscopie de masse, et analyse
spectrale à l’infrarouge. Ces tests
révèlent l’anatomie biochimique de chaque huile, permettant d’identifier les
huiles falsifiées ou même distillées de façon inadéquate.
Certaines huiles font l’objet de tests plus
poussés dans des laboratoires en Angleterre, en France et à l’Université d’État
Weber (à Ogden, en Utah aux États-Unis). Dans l’ensemble, les huiles de Young Living™
peuvent subir jusqu’à cinq niveaux distincts d’analyse de la qualité avant
qu’elles ne soient autorisées pour la mise en marché.
Puisque les résultats des laboratoires
internes d’un fournisseur peuvent être faussés afin de servir à des fins
partiales, il est important de pouvoir compter sur des certificats d’analyse
émis par des laboratoires indépendants afin de déterminer si les huiles que
vous achetez sont de grade thérapeutique.
Des résultats ne montrant que des pointes élevées comme attestation
qu’une huile soit supérieure ne signifient pas qu’une huile soit effectivement
pure ni supérieure. En fait, il se
pourrait que ces pointes élevées soient obtenues par l’ajout de substances
synthétiques ou de petites portions d’huiles essentielles bon marché. Un profil chimique abondant et varié est une
mesure considérablement plus importante de la qualité et de la pureté.
Pour les
huiles essentielles qui ne sont pas produites par ses propres installations,
Young Living™ en importe la plupart directement des distilleries. Durant l’année, des représentants de Young
Living™ effectuent plusieurs voyages à travers le monde pour inspecter les
conditions de culture et les opérations de distillation des producteurs
d’huiles essentielles afin de garantir que les huiles achetées chez d’autres
producteurs sont du grade thérapeutique le plus élevé et le plus pur
possible. Avant de procéder à l’achat,
des échantillons d’huile sont expédiés à un ou plusieurs laboratoires
indépendants pour y être analysés afin de s’assurer que l’huile est conforme
aux normes ISO (International Standards Organization)
et AFNOR (Association française de normalisation) applicables aux huiles
essentielles de grade thérapeutique.
Les
indicateurs les plus fiables de la qualité d’une huile essentielle sont les
certifications AFNOR ou ISO. Ces normes spécifient
dans quels pourcentages certains constituants chimiques doivent être présents
pour qu’une huile essentielle puisse être qualifiée de grade thérapeutique
authentique. Si le pourcentage de ces
constituants est trop élevé ou trop bas, l’huile ne peut être certifiée AFNOR
ou ISO. En règle générale, si deux
marqueurs ou plus ne correspondent pas à leurs pourcentages prescrits, l’huile
n’est pas conforme à la norme AFNOR.
Par
exemple, la norme AFNOR pour la lavande authentique lavandula angustifolia spécifie que le niveau de linalol doit être compris entre 25% et 38% et que le niveau
d’acétate de linalyle doit être compris entre 25% et 45%.
Young
Living™ a collaboré avec des chimistes européens certifiés pour s’assurer que
ses huiles essentielles sont conformes à la norme AFNOR. Toutes les huiles essentielles de Young
Living™ sont analysées et classées selon la norme AFNOR. Les huiles simples de Young Living™ sont
étiquetées avec le label AFNOR pour garantir leur authenticité et leur haute
qualité.
Dernières modifications le : 8 août 2002